Le travail de l'année 2001-2002 a permis de poursuivre les réflexions entamées dans le cadre de nos journées d'études intitulées "Médecine et philosophie", en collaboration avec la Société Chauvinoise de Philosophie (voir ci-dessous). Le programme original des autres activités était d'ouvrir nos recherches vers un public plus vaste, ce qui a été réalisé bien que, du fait de la dispersion géographique des membres, le travail du groupe lui-même ait été fragmenté. Le travail sur la pensée politique de la fin du moyen âge a conduit à une étude précise du Defensor pacis de Marsile de Padoue, centrée sur le livre I, qui a permis de mettre plus fortement en évidence l'influence de la biologie aristotélicienne ainsi que de la médecine italienne du début du XIVè siècle sur la pensée politique de l'époque. Une partie des conclusions de ce travail a été présentée à l'ENS-LSH, une autre à l'Université de Montréal (Québec). Cette double localisation, franco-canadienne, a néanmoins permis de sensibiliser d'autres chercheurs à notre thématique de recherche. Bien que la réalisation effective des nouveaux projets prenne du temps, le travail de l'année devrait déboucher, à terme, sur une collaboration fructueuse entre notre groupe et le Centre d'Études Médiévales de l'Université de Montréal.

Médecine et philosophie

Le groupe poursuit la série de journées consacrée au thème « Médecine et philosophie », en collaboration avec la Société Chauvinoise de Philosophie. Cette seconde journée était intitulée « Usages idéologiques et politiques de la médecine, XIXè-XXè siècles » et a eu lieu le 26 janvier 2002 à l'École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines de Lyon. Vous en trouverez un résumé ci-dessous.

La journée du 26 janvier 2002

Le projet général